Diana Sakalauskaité

Diana Sakalauskaité

Diana Sakalauskaité

/Bio/

Originaire de Lituanie, elle a été formée au Conservatoire de Klaipéda et à l’école de théâtre V. Šinkariukas de Kaunas. En France, ses formations théâtrales se feront avec Ariane Mnouchkine, Laurent Fréchuret, Christian Schiaretti, Philippe Calvario …

En 2018, elle rejoint les metteurs en scène barcelonais Nao Albet et Marcel Borras pour une création au théâtre National de Catalogne Falsestuff, la muerte de las muses.

Elle tient un des rôles principaux du long métrage Malmkrog de Cristi Puiu (prix de la mise en scène à la Berlinale 2020)

Elle a joué au théâtre avec les metteurs en scène Laura Scozzi, Lisa Wurmser, Philippe Adrien, Geneviève de Kermabon, Véronique Widock, Nathalie Sévilla, Ludivine Anberrée sur des textes contemporains ( Romain Gary, Dea Loher, B. M. Koltès, Miguel Sevilla, J-C. Grumberg) et classique ( Boulgakov, Tchekhov, Eschyle). Elle partage également une fidélité de travail avec le metteur en scène François Wastiaux et joue dans plusieurs de ses créations, Le Suicidé de Nikolaï Erdman, Labo Lubbe et Portraits crachés d’Yves Pagès, Entre les murs de François Bégaudeau, Poor People d’après T. Vollmann en 2013.

Après une première collaboration sur le spectacle Chevelure(s), mené par Annabelle Simon elle travaille actuellement avec elle sur Passing Shot, d’après Les Créanciers de Strinberg.

Parallèlement à sa carrière de comédienne, Diana est traductrice. Elle a traduit en lituanien des auteurs de théâtre français. En 2012, avec Nicole Barrière, elle traduit et publie en français le recueil Cœurs ébouillantés réunissant dix sept poètes lituaniennes contemporaines.

http://diana-sakalauskaite.com/

Julia Gòmez

Julia Gòmez

Julia Gòmez

/Bio/

D’origine espagnole, formée au Journalisme et au Théâtre à l’Université de Saint Jacques de Compostelle, Julia Gómez s’installe à Nantes en 2005 et rejoint le Conservatoire d’Art Dramatique. Elle travaille actuellement avec plusieurs compagnies de la région, notamment le Théâtre de l’Ultime. Elle joue dans la performance théâtrale Canons, dont elle cosigne la mise en scène avec Delphy Murzeau et Ludivine Anberrée, et dans la dernière création de Tanguy Malik Bordage, Tourista. Elle tourne régulièrement au cinéma et à la TV en France et en Espagne. Elle crée le collectif Brut-e avec quatre autres comédiennes nantaises afin de provoquer la rencontre artistique dans le milieu cinématographique. Par ailleurs elle se forme au chant et mène un projet personnel, delcarmen, où elle interprète ses propres textes en français et en espagnol accompagnée du musicien Mathieu Pichon. Elle joue dans la prochaine création théâtrale de la Hop Cie (Laval), Le temps est venu, à nouveau, prévue à l’automne 2021 et mise en scène par Patrick Sueur et Paule Groleau.

www.juliagomezvalcarcel.com

Ghyslain del Pino

Ghyslain del Pino

Ghyslain del Pino

/Bio/

Ghyslain del Pino a suivi deux formations principales d’art dramatique. En 1998, il entre au Conservatoire Régional de Nantes, sa ville natale. Il sort ensuite du Conservatoire Royal Supérieur de Liège en 2004, avec une grande distinction.
En seize années de carrière, il a défendu le répertoire classique et contemporain, tant dans les institutions ( comme Le Lieu-Unique, Le Grand T, Le Grand R, Le Théâtre Jean Arp, Le Quai d’Angers, Le TU de Nantes, Le Théâtre National de Novi Sad – Serbie, Le Théâtre Gardonyi Geza d’Edger – Hongrie, Le Théâtre de Bohëme – République Tchèque… ), que dans des écoles ou des entreprises.
Il prône l’incarnation, au détriment de la distanciation, comme avec le rôle de Tartuffe, que Ghyslain a joué sous la direction de Monique Hervouët. Durant six années, il participe à la création de la « Trilogie Asphalt Jungle » de Sylvain Levey, avec Laurent Maindon. Il joue près de deux cents fois « Froid » de Lars Norén, mis en scène par Jean-François Novile et créé au Théâtre National de Bruxelles. Il collabore aussi avec Ludivine Anbérée, David Vélez, Georges Richardeau, Herbert Roland…
Il est actuellement en création, sous la direction de Kévin Martos, de « Lettre au père » de Franz Kafka.
www.ghyslaindelpino.com